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Mea maxima culpa

Le 12 mars, je souhaitais un bon anniversaire à tous les natifs de mars. Tous ? Non ! j'ai oublié (au moins) une irréductible gauloise originaire de Toulouse... Avec beaucoup de retard, et surtout avec toutes mes excuses : Bon anniversaire Agnès. 12/05/07

Lundi, c'est raviolis !

J'ai eu l'occasion aujourd'hui de découvrir une nouvelle différence entre l'Allemagne et la France. Depuis "la vie est un long fleuve tranquille", en France le menu du lundi, c'est bien connu, c'est raviolis. De ce côté du Rhin, la coutume est autre : "Montag ist Reistag" (lundi c'est le jour du riz). A priori rien d'aussi sérieusement institutionalisé qu'en France ;-) mais j'ai découvert ce leitmotiv grâce à un cadeau pour mon vélo. En sortant de la fac ce soir, j'ai retrouvé la selle de mon vélo protégée par une cape de pluie (pour selle de vélo, ca tombre bien !) orange ornée du slogan "Montag ist Reistag!". Une marque très connue de riz (vous savez le riz d'un certain oncle) a en effet choisi de faire de la pub en garnissant toutes les selles de vélos d'une jolie protection anti-pluie. Du coup, c'est super, j'ai un protège selle qui évitera que je me mouille les fesses après la prochaine averse. Avouez que c'est mieux que le sac poubelle ou le pochon plastique. Si vous êtes sages, je prendrai une photo de mon vélo avec son nouvel accessoire. 21/05/07

Après-ski

Les allemands sont décidément incorrigibles. J'ai découvert qu'il utilisait des expressions francaises (enfin au moins une) comme il leur plaisait. Que signifie à votre avis "Après-ski" (en francais dans le texte) ici ? On est loin de la botte fourrée que l'on chausse pour se déplacer en station... Après-ski (prononcer [apré-chi]) décrit le phénomène qui veut que tout bon allemand va au ski pour skier un peu, mais surtout pour arroser ca chaque soir, avec force bière (ils vont pas boire du vin blanc, faut pas pousser). Le point commun entre leur apré-chi et nos après-skis : la mousse ? 23/05/07

Tomates

J'essaie de garder le peu de main verte que j'aie jamais eue, et de me consoler de la garde de mon bananier par Claudine, en me mettant à la culture (pas trop intensive) des tomates ! J'ai la chance de posséder deux pieds (historiquement 2, puis 1, puis de nouveau 2 ; puisqu'un a trouvé la mort dans un coup de vent, avant que je ne le tuteurise). Deux pieds donc, mais déjà trois tomates, pour le moment complètement vertes. Espérons qu'elle murissent, sinon, il faudra que je me mette à la confiture de tomates vertes. 02/06/07